Les Barcelonnettes au Mexique
Sur les traces des Barcelonnettes au Mexique
Après un éprouvant voyage de Barcelonnette jusqu’à Saint-Nazaire, il fallait trois mois de traversée pour atteindre le Mexique au XIXe siècle. Avec l’arrivée des transatlantiques, le voyage ne dure plus que trois semaines. |
Le paquebot "La Navarre" quittant Saint-Nazaire à destination de Veracruz. [coll. JFD]
Arrivée de "La Navarre" au port de Veracruz. [coll. JFD]
Débarquement sur le port de Veracruz. [coll. X]
Le port de Veracruz. Carte postale écrite en 1904 par J. Couttolenc. [coll. JFD]
Les activités commerciales
Une rue commerçante de Mexico ou l’on aperçoit un "restaurant de Paris". [coll. JFD]
Cette carte publicitaire de la "Fabrique de chapeaux et manufacture de poil"
des fils Pellotier a été imprimée en Italie. Elle précise "on parle français". [coll. JFD]
Une représentation de "La Ciudad de Londres" de J. Ollivier et Cie à Mexico. [coll. JFD]
Carte publicitaire du Centro Mercantil [coll. JFD]
Papier à en-tête du Centro Mercantil [coll. JFD]
Plaza de Armas - Grandes Almacenes El Centro Mercantil [coll. JFD]
Le magasin de nouveautés "El Centro Mercantil" de Sébastien Robert et Cie. [coll. JFD]
"El Centro Mercantil". [coll. JFD]
"El Centro Mercantil". [coll. JFD]
"El Centro Mercantil". [coll. JFD]
"El Centro Mercantil". [coll. JFD]
Fête du Centenaire de l'Indépendance (septembre 1910) [coll. X]
Portal de Mercaderes. A gauche, "El Centro Mercantil". [coll. JFD]
Façade côté Avenue 16 de Septiembre. [coll. JFD]
Avenida 16 de Septiembre. [coll. JFD]
Le comptoir du magasin "El Gran Oriental" à Mexico [coll. JFD]
"Las Fabricas Universales" édifiées par Alexandre Reynaud. [coll. X & JFD]
« La fête des fleurs du 15 mai et le char "Chantecler" des Fabriques Universelles.
Grande animation, sans grand résultat pour notre commerce ». [coll. X]
Carte postale publicitaire des grands magasins du "Palais de Fer" à Mexico,
société anonyme fondée par Jules Tron et Cie en 1898. Au dos est inscrit :
"Los almacenes màs grandes y mejor surtidos de la Républica". [coll. JFD]
Autre carte publicitaire. [coll. JFD]
Autre carte publicitaire. [coll. JFD]
Autre carte publicitaire [coll. RM]
Une autre représentation du "Palacio de Hierro". [coll. JFD]
"El Palacio de Hierro". [coll. JFD]
en savoir plus...
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"El Palacio de Hierro". [coll. JFD]
Un véhicule de livraison du "Palais de Fer". [coll. JFD]
L'autre côté du véhicule [coll. X]
Parade des employés du "Palacio de Hierro" aux fêtes du centenaire de l’indépendance
en septembre 1910. [coll. PMC]
Le char du "Palais de Fer" aux fêtes du centenaire de l’indépendance du Mexique
en septembre 1910. [coll. JFD]
Le Palacio de Hierro entièrement détruit par un incendie le 15 avril 1914. [coll. X]
Le Palacio de Hierro après l'incendie. [coll. X]
Le Palacio de Hierro reconstruit, Marcon & Dubois architectes. [coll. MDLV]
"El Puerto de Liverpool". [coll. X]
"El Puerto de Liverpool". [coll. X]
Entête de facture du "Puerto de Liverpool". [coll. X]
Les grands magasins "Palacio de Hierro" et "Liverpool" avenida 20 de Noviembre
Au fond, la cathédrale métropolitaine de Mexico. [coll. JFD]
"Tout pour la maison"
Entête de lettre du "Puerto de Veracruz". [coll. JFD]
"Al Puerto de Veracruz". [coll. JFD]
"Al Puerto de Veracruz". [coll. X]
Le personnel du "Puerto de Veracruz". [coll. MDLV]
"Al Puerto de Veracruz". [coll. MDLV]
"La Ciudad de Mexico" - Avenida Cinco de Mayo [coll. X]
Avenida Cinco de Mayo [coll. X]
Avenida Cinco de Mayo [coll. X]
Carte commerciale de "Las Fabricas de Francia" [coll. JFD]
"Las Fabricas de Francia" [coll. X]
"Las Fabricas de Francia" à Guadalajara. [coll. X]
Le magasin "Las Fabricas de Francia" à Guadalajara,
construit en 1901 dans le style "art nouveau",
au fond, le clocher de la cathédrale. [coll. JFD]
"Las Fabricas de Francia" à Tampico. [coll. JFD]
"Las Fabricas de Francia" à Tampico. [coll. JFD]
"Las Fabricas de Francia" à Tampico. [coll. JFD]
Eugène Pinoncelly à "Las Fabricas de Francia" [coll. X]
L’intérieur de "Las Fabricas de Francia" à Puebla, le rayon des chapeaux. [coll. PMC]
"Las Fabricas de Francia" à Torreon [coll. JFD]
"La Ciudad de Mexico" à Puebla [coll. JFD]
"A la Ciudad de Paris" à Guadalajara [coll. PMC]
Carte commerciale de "Al Progreso" [coll. RM]
"Al Progreso" à Morelia [coll. RM]
"La Primavera" de Mexico, magasin de tissus, vêtements et nouveautés. [coll. JFD]
"La Primavera - Gran almacen de ropa" à Puebla. [coll. JFD]
Torreon Coahuila, Hôtel Salvador, tienda "El Puerto de Liverpool". [coll. X]
"El Puerto de Liverpool" ropa y novedades, à Torreon, Coahuila. [coll. JFD]
"La Ciudad de Londres" à Tulancingo, Hidalgo. [coll. JFD]
Etiquettes utilisées pour marquer les coupons de tissus.
Les grandes manufactures textiles
En 1889, un groupe de commerçants originaires de Barcelonnette créé la "Compagnie Industrielle d’Orizaba S.A." L’usine de Rio Blanco, inaugurée en 1892, est alors la plus grande fabrique textile du Mexique. |
![]() Le siège de la CIDOSA à Mexico. [coll. JFD] |
![]() |
"La Fabrica de Tejidos Rio Blanco". [coll. JFD]
"La Fabrica de Tejidos Rio Blanco". [coll. JFD]
"La Fabrica de Tejidos Rio Blanco". [coll. JFD]
"La Fabrica de Tejidos Rio Blanco". [coll. JFD]
"Rio Blanco Factory near Orizaba". [coll. X]
"La Fabrica de Tejidos Rio Blanco". [coll. JFD]
"La Fabrica de Tejidos Rio Blanco". [coll. JFD]
"La Fabrica de Tejidos Rio Blanco". [coll. X]
"La Fabrica de Tejidos Rio Blanco". [coll. PMC]
"La Fabrica de Tejidos Rio Blanco". [coll. JFD]
Vue de la fabrique de Rio Blanco [coll. X]
"Fabrica de Hilados Rio Blanco". [coll. X]
Façade intérieure. [coll. JFD]
"Front of Rio Blanco Factory". [coll. X]
A Rio Blanco, 6000 ouvriers travaillent treize heures par jour
pour un demi à deux pesos par jour. La sortie des ouvriers. [coll. JFD]
Les ateliers
Carding Room, Cotton Mills, Orizaba.
Stéréoview Keystone. [coll. JFD]
Fabrica Rio Blanco. [coll. X]
Fabrica Rio Blanco - Dpts Tejidos. [coll. PMC]
Fabrica Rio Blanco - Hilados. [coll. JFD]
Fabrica Rio Blanco - Cardas. [coll. PMC]
Fabrica Rio Blanco - Urdidores. [coll. JFD]
Printing Room, Cotton Mills, Orizaba.
Stéréoview Keystone. [coll. JFD]
Fabrica Rio Blanco - Estampadoras. [coll. JFD]
Fabrica Rio Blanco. [coll. JFD]
Fabrica Rio Blanco - Aprestos. [coll. PMC]
Fabrica Rio Blanco - Engomadores. [coll. JFD]
Fabrica Rio Blanco - Distribucion Alumbrado. [coll. JFD]
Force motrice pour l'usine de Rio Blanco. [coll. X]
La vie autour de l’usine
Sur le site industriel, à proximité des ateliers, une véritable cité ouvrière a été construite
pour les employés, avec ses jardins, sa bibliothèque et son église. Les ouvriers reversent
ainsi une partie de leur salaire en loyer à la Compagnie. [coll. JFD]
La cité ouvrière de Rio Blanco [coll. JFD]
Casas de empleados. [coll. JFD]
Fabrica Rio Blanco - Casas obreros. [coll. PMC]
Fabrica Rio Blanco - Casas obreros (Drogueria). [coll. JFD]
Fabrica Rio Blanco - Calle a Tenango. [coll. X]
Fabrica Rio Blanco - Escuelas Municipales. [coll. PMC]
Fabrica Rio Blanco - Alameda. [coll. X]
Fabrica Rio Blanco - Templo Catolico. [coll. JFD]
Fabrica Rio Blanco - Templo Catolico. [coll. X]
L'église de Rio Blanco [coll. X]
Fabrica Rio Blanco - Vista parcial [coll. JFD]
Fabrica Rio Blanco - Vista sur. [coll. JFD]
En 1896, un autre groupe de Barcelonnettes créé la "Compagnie Industrielle Veracruzana" et construit à son tour une nouvelle usine à Santa Rosa. |
Fabrica de Santa Rosa. [coll. JFD]
La CIVSA a pour emblème un coq hardi (la patte dextre levée) tenant une dague.
Quelle est l’origine et la signification de ce symbole héraldique ?
La Compagnie Industrielle d’Atlixco est fondée en 1899 avec des capitaux espagnols et français. L’unité cotonnière de Metepec, construite en 1905, emploie 1250 ouvriers. C’est la plus importante manufacture de l’Etat de Puebla. |
La fabrique de Metepec au pied du Popocatepetl [coll. X]
Fabrica de Metepec. [coll. JFD]
Fabrica de Metepec. [coll. JFD]
Entrée de la manufacture de Metepec [coll. X]
La sortie des ouvriers [coll. X]
El zocalo [coll. X]
Fabrica de Metepec - La centrale électrique. [coll. JFD]
Salle des convertisseurs rotatifs [coll. X]
Fábrica de Hilados El León. [coll. JFD]
Fabrica "El Leon" à Atlixco [coll. RM]
Les plus grandes affaires industrielles ont été vendues ou ont disparues; reste une fabrique de draps de laine aux mains des "Barcelonnettes" celle de Soria, fondée en 1918 dans la région de Guanajuato. Elle est dirigée par Robert Martel originaire de Barcelonnette. |


L’industrie du tabac
En 1889, Ernest Pugibet fonde la manufacture de cigarettes "El Buen Tono". Elle va rapidement devenir la plus importante de toutes les fabriques de cigarettes établies au Mexique. En 1910, elle produit plus de 60% des cigarettes vendues au Mexique et emploie plus d’un millier d’ouvrières. |
Fabrica de cigarros de "El Buen Tono". [coll. JFD]
Les grands patrons Barcelonnettes se sont aussi intéressés au secteur bancaire où on les retrouve siégeant dans les Conseils d’administration des principales banques du pays. L’immeuble du "Banco Nacional" à Mexico dont Sébastien Robert fut l’un des premiers conseillés. Parmi les membres du Conseil d’admistration, on trouve également Joseph A. Signoret dont la signature figure sur plusieurs billets émis par cette banque. |
Banco Nacional de Mexico. [coll. JFD]
Les français au Mexique
Vue d’ensemble de la colonie française de la ville de Guadalajara. [coll. JFD]
Le Pavillon du Cercle Français à Guadalajara [coll. X]
Un monument offert à la ville de Puebla (en voir plus sur ce monument). [coll. JFD]
Célébrations du 14 Juillet
Les français célèbrent leur Fête Nationale ; Souvenirs du 14 Juillet 1905 [coll. JFD]
Fête du 14 juillet 1909, loterie de bienfaisance [coll. JFD]
Les cimetières français
En 1889 la communauté des Barcelonnettes créé le cimetière français de Mexico "La Piedad". Ses nombreuses et riches scépultures en on fait un monument national à l’image du Père Lachaise à Paris. |
Le cimetière français de Mexico. [coll. JFD]
Les bénéfices d'une entreprise de pompes funèbres permettent d’assurer l’entretien des deux grands cimetières français de Mexico. |
Le monument du cimetière français de Puebla (en savoir plus). [coll. JFD]
Les cartes postales du Mexique
Parmi les éditeurs de cartes postales du Mexique, on trouve "Les Fabriques de France",
grand magasin de nouveautés fondé en 1878 par Fortoul, Bec et Cie. [coll. JFD]
Le retour au pays
La plupart des émigrants qui ont réussi à faire fortune reviennent dans la Vallée où ils se font construire de somptueuses villas dans de grands parcs. |
Les charpentiers à l’oeuvre sur le chantier de la villa bleue à Barcelonnette. [coll. JFD]
Appelés Barcelonnettes par les mexicains, ces riches propriétaires de retour
sur leur terre natale sont qualifiés ici d’américains ou de mexicains. [coll. JFD]
Un groupe de "mexicains" devant la villa François Albert.
(Document extrait du livre "Les Basses-Alpes" de Henri Joannet).
Barcelonnette est probablement la seule ville en dehors du Mexique où l’on trouve une avenue
Porfirio Diaz. Il faut dire que le Président mexicain à largement favorisé le développement
des entreprises françaises dans son pays. [coll. JFD]
A l’instar de leurs belles villas, certains "mexicains" vont se faire construire de luxueux
caveaux dans les cimetières de Barcelonnette, Jausiers, Tournoux ou Saint-Paul. [coll. JFD]
Lorsqu’éclate la Grande Guerre, 561 jeunes Barcelonnettes au Méxique sont mobilisés auxquels se joindront des mexicains pour s’enrôler dans l’armée française. On dénombrera 241 morts parmi ces jeunes et 11 mexicains. Leurs noms sont gravés sur ce monument au pied de la tour Cardinalis sur la place Manuel à Barcelonnette. |
Plaque commémorative sur la Tour Cardinalis. [coll. JFD]

Commentaires (37)
mon arrière grand père est un des fondateur des fabrique de france .. Frédéric Bec et cia ...
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Merci.Magnifique travail qui me replonge dans L’histoire de ma famille.je recherche toujours les cousins restés à Mexico,descendants de Meyran antoinette et rosette lopez jesus,dont le fils eduardo est enterré au cimetiere el panteon de los frances a Mexico.
Continuez à nous faire revivre ce passé.
Pascal
Je reconstitue sa vie courte (mort en 1915 en Alsace) mais si dense!
Cordialement
Michel GROS
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Dans mon étude généalogique "La famille BELLON dit BLEITON du
vallon de Fours" je trouve: Marius Régis Bellon (prénom usuel Marius?),
négociant en Mexique, né le 4.10.1850 à Barcelonnette (la Conchette), fils de Marie André (fils de Joseph fils de Pierre Louis fils de Joseph fils de
Julian ...) et Marie Antoinette Imbert.
Xavier , un passionné de l'histoire de l'Ubaye , bien loin de ses terres d'origine à tahiti
Aimerait entrer en contact avec les descendants de cette famille Richaud
cependant, dommage que ne soit pas évoqué l'affaire de Rio Blanco
connu par les historiens sous le nom de "Huelga de Rio Blanco" où la troupe de Porfirio Diaz alors Président du Mexique tira sur les ouvriers qui manifestaient pour obtenir des conditions de vie et de travail descentes.
Ainsi que le système de salariat mis en place où une grande partie du salaire étaient versé en bon d'achat dans les magasins des Barcelonnettes en particulier celui d"un nommé Garcin.
Je voudrais pouvoir illustrer mon propos destiné à ma famille par des photos. Serait-il possible que vous m'envoyiez, ou que vous m'indiquiez comment me procurer les photos de Rio Blanco?
Avec mes remerciements.
Très cordialement.
Michel Levallois , historien
Merci
Je vous remercie pour ce travail d'archive tres interessant sur la precense des barcelonnettes au Mexique. Je suis en train d'ecrire un article sur l'immigration des barcelonnettes au Mexique et je voudrais agrementer mon article en mettant quelques unes de vos photos et images.
Cordialement
j ai mes ascendants qui étaient de BARCELONNETTE
et certains qui a l époque sont parti au MEXIQUE
et voudrai retrouver des photos
d un magasin de MAROQUINERIE de l époque
les propriétaires PROVENCAL
merci nicole
Merci de m'avoir permis d'utiliser votre site et encore bravo
Monique Bordet Delauney
amicalement
J'ai aussi quelques photos et cartes postales de mon grand pere.
A+
Je ne sais pas où le nom de famille, mon grand-père s'appelait Jésus Sebastian Serment.
C'est tout ce que je sais.
Merci.
MAGNIFIQUE
ON EST
DANS L AUTHENTICITE
DANS LE FOU DE L ENTREPRISE HUMAINE DES EMIGRANTS
DANS LE COMBAT POUR LA REALISATION DE SES REVES
BRAVO A CES EMIGRANTS ET BRAVO ENCORE POUR VOTRE PAGE.
JE NE SUIS NI DE BARCELONNETTE NI DESCENDANT DE, NI MEXICAIN
J ADORE LE MEXIQUE MAIS PAS POUR SES CACTUS..
QUAND ON VOIT CELA ON VOIT BIEN QUE NOTRE MONDE ACTUEL, BATI SUR
DU CONFORT
DU CONFORMISME
ET DE LA VIEILLESSE MENTALE,
EST FOUTU
J AURAI ADORE VIVRE A CETTE EPOQUE!!
MERCI ENCORE POUR CE VOYAGE
Seuls les Martel continuent à porter haut le nom de l'un d'entre eux, et gageons que l'avenir est encore ouvert pour les descendants de ces courageux pionniers, descendus de leurs montagnes arides, traversant les océans, et restant fidèles à leur Vallée de l'Ubaye. C'est quand même plus noble que l'histoire des békés en Martinique et des blancs-pays en Guadeloupe.
Et n'oublions pas Paul Raynaud lui aussi de la Vallée de l'Ubaye....où il n'osa jamais conduire sa maitresse la Comtesse des Portes...
belle iconographie
on voyage dans un fauteuil
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